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Répit aidant

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Nous proposons un service de répit aidant à partir de 25.50 euros de l’heure

Intervention en semaine ou en week-end
Une demi-journée, une journée entière ou plusieurs jours d’affilée
Votre proche âgé pourra bénéficier également de services de coaching bien-vieillir, pendant votre répit.

Vous pouvez partir en week-end, au musée, au cinéma… en toute tranquillité. Retrouvez-vous sur le site ma boussole aidant

 

Qu’est-ce qu’être un aidant aujourd’hui ?

Une des étapes importantes est de se reconnaître comme aidant. Ce n’est qu’en ayant réalisé sa situation que celui-ci pourra se donner les moyens et les outils destinés à l’aider à poursuivre son rôle de proche aidant sans nuire à sa qualité de vie. Il est indispensable qu’il prenne soin de lui-même et surtout qu’il se fasse aider afin d’éviter l’isolement et l’épuisement.

Les aidants aujourd’hui sont en général des femmes, âgées de 50 à 64 ans confrontées à la perte progressive d’autonomie de leur père ou de leur mère, parfois de manière brutale avec la survenue d’une maladie. Désemparés, ces aidants tentent de maintenir leur proche à domicile le plus longtemps possible. Ce sont eux qui effectuent la toilette, les courses, le repas.

Il leur est également difficile de comprendre l’évolution de la maladie de leur proche ainsi que les conséquences sur leur relation avec celui-ci.

Reconnaître les signes de stress

Du fait de l’allongement de l’espérance de vie, les aidants sont de plus en plus nombreux et toujours plus sollicités. Leur rôle devient encore plus complexe et de plus en plus chronophage. Un aidant sur deux se dit surmené, stressé et exposé au burn-out voire à la dépression. D’ailleurs les aidants ont 63% de risques supplémentaires de développer une maladie.

Quand vient le découragement

La grande majorité des aidants a déjà connu le découragement selon un sondage effectué par OpinionWay sur des aidants âgés de 40 à 75 ans. En effet, il faut savoir que 30% des aidants hébergent leur « aidé » et en deviennent l’aidant permanent au fur et à mesure de l’aggravation de sa maladie.

Selon, l’enquête Handicap-santé auprès des aidants informels. (DRESS, 2008), 20% des aidants ressentent une charge importante et en souffrent. Cette proportion est encore plus forte pour les aidants lourds, qui consacrent beaucoup de leur temps à leur proche âgé : 89% d’entre eux déclarent ressentir une fatigue morale !

Pour éviter que l’aidant ne sombre dans une spirale de burn-out d’où il lui sera très difficile de sortir, il est préférable d’être très attentif aux symptômes de stress annonciateurs de son épuisement afin de prendre des mesures préventives.

Prévenir l’épuisement

Reprendre des forces pendant une ou deux semaines de vacances peut éviter des situations de crise, voire de graves dépressions…En général, l’aidant est prêt à jouer son rôle d’accompagnement 24h/24, mais ne pas se ménager d’instant de répit pour prendre son souffle est une erreur. Les aidants doivent impérativement apprendre à se faire aider. Dans le cadre des évaluations qui seront pratiquées auprès de l’aidant familiale, nous utiliserons la grille ZARIT et la grille de la répartition des tâches en complément de notre fiche d’évaluation des besoins.

 

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